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  • Universités: Pécresse veut faire du classement européen une "référence"

     
    Le classement des universités européennes et mondiales dont l'Union européenne (UE) va se doter doit devenir "une référence dans le monde entier" et "supplanter" les classements internationaux actuels, a plaidé jeudi la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse.
    Ce projet de "classement", qui sera en fait une "cartographie" par disciplines conçue comme une aide au choix des étudiants, a été lancé à l'initiative de Mme Pécresse lors de la présidence française de l'UE en 2008.
    "L'objectif est qu'il devienne une référence dans le monde entier et qu'il supplante par sa qualité et sa pertinence les classements actuels", a déclaré Mme Pécresse lors d'une rencontre organisée par l'Institut Thomas More, à deux semaines de la publication du classement de Shanghaï 2009 des universités mondiales.
    Ce classement, publié depuis 2003 par l'université Jiao Tong des communications de Shanghaï, fait la part belle aux établissements américains mais sa méthodologie est très contestée, en France mais pas seulement.


    La suite ici: http://www.vousnousils.fr/page.php?P=data/autour_de_nous/l_actualite_du_jour/depeches_de_l_educat/&key=20091022&key2=091022103859.toh4jpig.xml 

  • L’Université française est en grande difficulté. Le problème était latent mais la prise de conscience est relativement récente, provoquée par l’apparition de classements internationaux dont la France est quasiment absente. En effet, trente années de grèves et manifestations ont conduit le système universitaire dans une impasse. Irréformable, il n’a pu s’adapter à l’explosion du nombre d’étudiants, passé de 130.000 à 1,3 million qu’au prix d’un effondrement de ses performances. 
    En 2009, une fois de plus, le projet de réforme du gouvernement, pourtant indispensable à l’adaptation de l’Université à son environnement et à sa modernisation, a été instrumentalisé et a conduit au déclenchement d’une crise sans précédent.

    Cette réforme n’était-elle qu’un prétexte ? Les personnels universitaires sont-ils dans une posture de défense de leurs avantages corporatistes ? Quelles sont les véritables raisons de leur mécontentement ? Les Universités sont-elles les victimes des filières concurrentes ? La réforme Pécresse a-t-elle finalement résolu les problèmes majeurs dont souffre l’Université ? De quels exemples internationaux est-il possible de s’inspirer, pour que la France retrouve sa place parmi les pays développés en matière de recherche et d’innovation ?

    Autant de questions auxquelles l’iFRAP tente de répondre dans cette enquête au cœur d’une institution à la dérive, employant près de 140 000 fonctionnaires pour un budget de 25 milliards d’euros, à travers des chiffres et des témoignages saisissants d’observateurs et d’universitaires eux-mêmes.


    Sommaire de ce dossier sur l’Université
    • Comment la décroissance du nombre d’étudiants a précipité la chute de l’Université
    • Grèves et manifestations : la réforme n’est-elle qu’un prétexte ?
    Retour sur plus de trente ans de manifestations
    LMD, Licence-Master-Doctorat
    LRU, Loi autonomie des universités
    Statut des enseignants-chercheurs
    Evaluation des personnels
    Réforme du CNRS
    • Les véritables revendications des enseignants-chercheurs
    Les carrières et les postes
    Les salaires
    Les moyens matériels
    • Les universités ne sont pas les victimes des autres filières
    • Absence de sélection et gratuité : les deux tares de l’Université
    La sélection à l’entrée de l’Université : un tabou français ?
    Développer les filières courtes
    Un financement plus juste de l’enseignement supérieur
    • Le problème de la gouvernance
    Des conseils aussi pléthoriques qu’impuissants
    Interview de Nicolas Crespelle
    Interview de Thomas Piketty
    • Il est possible de construire une Université performante : l’exemple du Royaume-Uni


    Source: http://www.ifrap.org/Universite-Osons-la-reforme,11386.html 

  • Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, a inauguré hier la Tour Zamansky de Jussieu, abritant une partie de l’administration de l’Université. La ministre a rappelé que la réhabilitation du site a fait l’objet à cette occasion d’un grand travail d’architecture qui a dépassé le simple désamiantage.

    Au total, 11 000 mètres carré seront ainsi reconstruit d’ici 2013, dont 6 500 mètres carré utiles sur 24 étages et 95 mètres de haut, pour près de 480 postes de travail. La ministre a également rappelé que les coûts, qui dépassent les 1,6 milliard d’euros, dont 500 millions pour le relogement provisoire, seraient entièrement financés par l’Etat.

    Valérie Pécresse a aussi fait savoir qu’elle se réjouissait du projet de création d’un Pôle de Recherche et d’Enseignement supérieur (Pres) entre les trois universités Paris 2 Panthéon-Assas, Paris 4 Sorbonne et Paris IV Pierre et Marie Curie. La ministre a enfin déclaré vouloir engager une réflexion globale sur l’organisation des universités parisiennes et de leur immobilier.


    Source: http://www.lavieimmo.com/actualite-immobilier-Pecresse_inaugure_la_tour_rehabilitee_de_jussieu-00004712.html





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