L'agenda de la grève à la Sorbonne : conférences, actions, évènements
François Fillon tape du poing sur la table : le premier ministre a accusé, mercredi soir, une "petite minorité" d'étudiants de bloquer les universités et "d'user de violence", alors que le mouvement de protestation dans les universités dure depuis plus de dix semaines.
Le chef du gouvernement promet qu'à "chaque fois qu'un président d'université nous demandera de rétablir l'ordre, nous y répondrons". Il juge inacceptable "que les diplômes soient bradés".
Ecoutez le Premier ministre, au micro de Yaël Goosz :
Pour François Fillon, les étudiants qui empêchent l'accès aux amphithéâtres sont "coupables d'abaisser la réputation de nos universités" et "de casser le service public". "Il est injuste que les familles qui se serrent la ceinture pour financer les études de leurs enfants soient les victimes de quelques extrémistes".
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