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L'agenda de la grève à la Sorbonne : conférences, actions, évènements

Institutrices retenues: les parents d'élèves maintiennent la pression - AFP

Huit institutrices étaient toujours bloquées mercredi en fin d'après-midi à l'intérieur des écoles de Laroque d'Olmes (Ariège) et de Pompertuzat (Haute-Garonne) par des parents d'élèves déterminés à obtenir le maintien de classes que l'Education nationale veut supprimer.

 
A l'école primaire Elisée Maury de Laroque d'Olmes, paralysée depuis mardi en fin d'après-midi, les 3 institutrices sont "traitées de façon honorable et respectable", a tenu à rassurer l'adjoint au maire de Laroque d'Olmes, Francis Fourtalin, qui s'est associé au mouvement de protestation.
 
 
"Je suis en négociation âpres et ardues avec l'Education nationale, mais on s'achemine vers une deuxième nuit de mobilisation, les parents sont déterminés à poursuivre le mouvement", a-t-il déclaré à l'AFP.
 
 
A la mi-journée, la directrice a été autorisée à sortir pour une réunion avec des représentants de l'académie, de la préfecture et des élus locaux.
 
 
Après un blocage de l'école maternelle de Pompertuzat mardi, les cinq institutrices ont été retenues par les parents d'élèves à partir de mercredi matin, elles aussi dans de bonnes conditions, et les parents d'élèves devaient se réunir mercredi en fin de journée pour décider de la suite du mouvement.
 
 
L'inspecteur de la circonscription de l'Education nationale est passé à l'école "pour prendre la température", raconte Stéphanie Prévot dont le fils est scolarisé dans l'école. "Mais, nous ne sommes pas entendus. On vit difficilement cette situation, mais on veut sauver cette classe. On en arrive à une situation grave, mais pour se faire entendre..."
 
 
A Toulouse, une trentaine d'enseignants, parents d'élèves et enfants se sont réunis devant les locaux de l'inspection de l'Académie, où une délégation a été reçue pour faire entendre sa voix à la veille d'un Conseil départemental de l'Education nationale.
 
 
 
"Il s'agit de faire pression sur l'inspection pour que les fermetures prévues n'aient pas lieu", a déclaré un secrétaire départemental du SNUipp-FSU31, Laurent Cadreils, selon lequel "la rentrée se passe mal".


AFP 
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