• Valérie Pécresse, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche était dimanche l'invitée du Grand Jury RTL - le Figaro - LCI (18h30_19h30). Elle était interrogée par Jean-Michel Apathie (RTL), Étienne Mougeotte (Le Figaro) et Marie Croccel (LCI). Elle est notamment revenue sur l'ébullition du monde universitaire depuis plus de deux mois et que la question des examens est posée...
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    Jean-Michel Aphatie

    26 avr. 2009

    Ecoutez la première partie de l'émission

    Jean-Michel Aphatie

    26 avr. 2009

    Ecoutez la seconde partie de l'émission

     


  • Alors que la grogne se poursuit dans les facs autour des réformes gouvernementales, qu'en est-il de l'autonomie des universités ? Et leur émancipation peut-elle (doit-elle) conduire à une mise en concurrence, sur le marché des études supérieures ?
    Pour répondre à ces questions, nous avons convié Valérie Précresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Jean-Baptiste Prévost, président de l’UNEF (Union des étudiants de France), pour un débat animé 
    présentée par Emmanuel Laurentin et Max Armanet.

    Dans la 2e partie de l'émission, questions posées par Jean Peyrelevade et Agnès Touraine

    Le lien ici: http://media3.radiofrance-podcast.net/podcast09/11055-24.04.2009-ITEMA_20167382-0.mp3




  • Le gouvernement a validé mercredi le projet de décret modifiant le statut des enseignants-chercheurs. Modifiant un décret de 1984, ce texte a été examiné en conseil des ministres, après avoir été validé mardi par le Conseil d'État. Il doit s'appliquer à la rentrée 2009 pour quelque 57.000 enseignants-chercheurs. Ce décret, qui instaure la possibilité de moduler le temps de travail d'un enseignant entre cours, recherche et autres tâches, est "parfaitement conforme aux attentes de la communauté universitaire", a déclaré le Premier ministre François Fillon sur France Inter.

    La première version du décret, transmise au Conseil d'État en janvier, avait déclenché la fronde des enseignants-chercheurs dans les universités. Parmi les critiques, la crainte de se voir imposer des cours en plus au détriment de la recherche, une atteinte à l'indépendance et une remise en cause du statut national.

    Devant la contestation, François Fillon avait dû demander à Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur, de réécrire le texte. Une nouvelle version a donc été négociée avec certains syndicats (minoritaires), mais les discussions ont été boycottées par le principal, le Snesup-FSU, qui continue de demander le retrait d'un texte dont "la logique reste la même", dénonce un "passage en force" du gouvernement pendant les vacances et appelle à la poursuite du mouvement.

    Une nouvelle journée d'action est prévue mardi, en même temps que le personnel hospitalier, tandis que le 29 avril la coordination nationale des universités se réunira, pour la neuvième fois depuis le début du conflit le 2 février, afin de décider de la suite des actions.

    AFP




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